Une expression qui dérange, mais qui traduit une réalité palpable

Le terme « ensauvagement » a longtemps été rejeté comme une exagération politique. Pourtant, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Depuis les années 2000, la France connaît une hausse constante des agressions gratuites, des vols violents et des atteintes aux personnes.

En 2023, plus de 1 500 agressions physiques quotidiennes ont été enregistrées selon les données du Ministère de l’Intérieur. Des faits divers qui, autrefois rares, deviennent la norme : attaques au couteau, lynchages en plein jour, policiers agressés... Ces actes ne sont plus confinés aux grandes villes mais gagnent aussi les zones rurales.

Un climat d’insécurité généralisé

La peur s’est installée dans les esprits. Selon une enquête de l’INSEE, près de 60 % des Français évitent certains lieux ou trajets de peur d’une agression. Le sentiment d’insécurité touche toutes les générations, et en particulier les femmes et les personnes âgées.

Dans les transports, les gares, les quartiers autrefois tranquilles, la tension est palpable. Cette méfiance permanente mine la cohésion nationale et transforme les rapports sociaux.

Quels sont les facteurs de cet ensauvagement ?

• Désengagement de l’État : Moins de présence policière, une justice débordée, une répression trop faible.
• Déresponsabilisation morale : L’individualisme, le rejet de l’autorité, l’effondrement des valeurs traditionnelles.
• Immigration incontrôlée : Sujet sensible, mais incontournable. Certains quartiers sont désormais totalement sous l’emprise de communautés coupées de la nation.
• Laxisme judiciaire : Peines non appliquées, sentiment d’impunité chez les récidivistes.

La parole politique entre déni et réveil tardif

Alors que certains à gauche nient le problème ou préfèrent parler de "sentiment" d’insécurité, d’autres, à droite, réclament une prise de conscience nationale. Des figures politiques comme Éric Zemmour, Marion Maréchal ou Marine Le Pen ont replacé le thème au centre du débat public.

Mais au-delà des discours, il faut des actes. Et aujourd’hui, ce sont souvent les citoyens eux-mêmes qui prennent le relais : associations de quartiers, collectifs de riverains, initiatives de sécurisation privée...

Restaurer l’ordre : une condition pour redresser la France

On ne rebâtit pas une nation sur la peur. La restauration de l’autorité, le respect des lois et la protection des Français doivent être priorités. Cela passe par :

• Une vraie politique de tolérance zéro vis-à-vis des délinquants.
• Le renforcement des effectifs de police et gendarmerie.
• Des peines fermes, réellement exécutées.
• Un contrôle rigoureux de l’immigration.

Conclusion : ne plus fermer les yeux

Le refus de nommer les choses, de voir la réalité en face, est une forme de complicité passive. La France ne peut pas continuer à tolérer l’inacceptable. Ce que certains appellent "ensauvagement" est bien plus qu’un mot : c’est un symptôme de décadence qu’il nous appartient de combattre.

Chez Make France Great Again, nous faisons le choix du courage, de la vérité, et du patriotisme. Ce combat, c’est aussi le vôtre.